Une surprise nous attendait à la fin des travaux : on nous demandait de payer une "redevance" !! A notre connaissance, les autres sportifs du SIVOM ne finançaient pas les installations sur lesquelles ils évoluaient...Nous n'étions pas contre une participation, mais de là à verser des millions tous les ans . Il fallut pourtant se résoudre à payer, mais nous savions que nous ne pourrions pas tenir longtemps, car l'engouement pour le tennis risquait de diminuer. De 1985 à 1994, nous avions versé environ 90000 € au SIVOM, mais dans le même temps les adhérents étaient passés de 243 à 150. De plus, les élus locaux oubliaient vite que nous avions , au départ, construit et financé les deux terrains en "terre battue". Enfin, nous ne possédions rien, puisque le terrain ne nous appartenait pas. Tout était au SIVOM.